Ce post réunit les informations, photos d'époque et détails sur l'utilisation de cet équipement
ce sont 3 600 000 paires qui ont été fabriqués.
Dans la notice il est dit :"qu'à défaut de bouton elles peuvent se coudre sur les épaules".
D'ailleurs il est précisé à la fin que les boutons sont en option et font l'objet d'un supplément.
Ce qui pourrait en faire déduire que les boutonnières n'étaient donc pas réalisées systématiquement en fonction des commandes.
exemplaire se trouvant au musée de l'armée à Paris.
autre exemplaire, dos doublé de drap garance de récupération (collec.
asiate)
photo d'un homme du 368e RI portant une Poiret, des brodequins de repos, et des epaulières (collec.
Admin)
photo montrant des soldats portant les épaulières, couvre casque et cisaille de prise allemande à moins que ce ne soit un exemplaire marqué du matériel de guerre? (collec.
killer2lamor)
photo d'un artilleur fin 1915 (collec.
jeanphy). Notez le couvre casque, le couvre bouche du fusil, les épauliéres adrian...
Un grenadier du 339e RI (collec.
les alpins)
Un fantassin du 89e RI (collec.
les alpins)
une carte photo (collec.
titi) d'un soldat avec épaulières et pantalon erzatz..soldat du 115 ou 116, difficile à lire..
des hommes du 68RI sur le terrain (collec.
killer2lamor)
deux autres (collec.
gcg)
un homme du 82RI avec ces épaulières Adrian, les pattes de col semblent jonquille (collec.
killer2lamor)
une autre photo avec un groupe de prisonniers, un des hommes au milieu porte les épaulières Adrian (collec.
killer2lamor)
une autre photo (collec.
coutach), avec au dos le tampon d'un camp de prisonniers (Geprüft 21 ?) et la mention écrite à l'encre " Reçu le 2 août 1917 au kommando de Herne ".
on peut donc imaginer que les deux hommes sont des amis du destinataire, et que la lettre que tient dans la main l'homme au calot provient de ce dernier.
On peut voir des épaulières Adrian. Les lames métalliques semblent avoir été retirées, comme c'était souvent le cas à la fin de la courte existence de cet équipement peu confortable :