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 Adolf Hitler dans le Nord en 14-18

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Messages : 3568
Date d'inscription : 18/02/2008

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MessageSujet: Adolf Hitler dans le Nord en 14-18   Adolf Hitler dans le Nord en 14-18 Icon_minitimeLun 30 Juin - 14:01

bonjour, ce post a juste un but historique, merci d'éviter les polémiques

ne en 1889 et mort 1945,Braumau-am-inn en autriche,rejete des troupes autrichiennes,s'engage comme volontaire en baviere troupe reserviste.
batailles fromelles,fournes et ypres.
le 12 janv 1914 ordre de mutation est reporté dans l'armee autrichienne
le 5 fevrier 1914 rejete de l'armee autrichienne
le 3 aout l'allemagne declare la guerre a la france Hitler ecrit au roi Ludwig III de baviere pour s'enroler dans l'armee de Baviere
le 16 aout enrolé dans la 1iere compagnie du16ieme regiment de reserve infanterie de baviere(bav-RIR.16) Colonel Julius List.
son regiment fait partie de la 12ieme brigade d'infanterie de reserve de la 6ieme division de reserve commandee par le general de cavalerie Maximilian Freiherr Von Sspeidel.suite au prochain.
Le 7 octobre, le régiment quitte Munich. l'instruction de base terminée, le lendemain, les soldats prêtent serment d'allégeance à Louis III, roi de Bavière, ainsi qu'au Kaiser Guillaume ( par la même occasion, il prête serment et fidèlité à son propre souverain, l'Empereur François Joseph)... Hitler déclare à ses camarade se souvenir pour toujours du 8 octobre 1914.... Le 20 octobre, le régiment reçoit l'ordre de partir pour le front occidental. Le 30 octobre, la 6e Division d'infanterie Bavaroise, auquel appartient le régiment List, est engagé devant Ypres. Neuf divisions inexpérimentées sont lancées sur les lignes Britanniques.... C'est l'hécatombe, malgré un courage frisant le fanatisme.... D'ailleurs à ce propos Adolph Hitler avait écrit boulversé par cette extraordinaire expérience '' En quatre jours, notre régiment a été réduit de 3 500 à 600 hommes, il nous reste trente officiers. Le colonel List a été tué le 2 novembre. Quatre compagnies ont disparu... J'ai vu des hommes tomber par centaines autour de moi. J'ai compris seulement aujourd'hui combien la vie était une lutte cruelle qui n'avait qu'un seul objet : la préservation de l'espèce. ( c'est là qu'on peut lire que ce personnage était déjà bien un allumé de première et que parmi tous ces tués, il a fallu qu'il y échappe.... Faute à pas de chance pour les évènements futurs....)


Adolf hitler est a l'epoque un simple caporal, lorsqu'il se trouve dans la region de lille il sert de messager entre fournes-en-weppes où il réside et le front et notamment Fromelles (voir le site de l'association :http://www.asbf14-18.org/)
lors de l'occupation de la France durant la seconde guerre mondiale il est revenu sur les lieux que j'ai cité et a fait apposé une plaque sur la porte de la boucherie où il résidait (cette plaque se trouve desormais au musée de Fromelles)

Voici un article, malheureusement incomplet car je n'ai pas tout, sur son parcours durant la première guerre mondiale :

" Adolf Hitler, fantassin bavarois dans le Nord de la France pendant la guerre 1914-1918

Dans le livre qu'ils viennent de publier "Adolf Hitler" nos collaborateurs Pierre et Renée Gosset apportent d'intéressantes précisions sur le séjour dans le nord du soldat Adolf Hitler, lorsqu'il servait au 16ieme régiment d'infanterie bavarois de 1914 à 1918 :
On l'a versé dans un régiment de reserve, le 16e régiment d'infanterie bavarois, constitué vaille que vaille d'éléments hétéroclites tels que lui, parmi lesquels beaucoup d'universitaires. L'un d'entre eux s'appelle Rudolf Hess, mais il n'y a rien de commun entre cet étudiant distingué et le vagabond qu'est Hitler : les deux hommes passeront plusieurs mois l'un à côté de l'autre sans se connaître.
En quelques semaines, durement, on va essayer tant bien que mal, dans une caserne de Lechfeld, den faire des soldats. Le mois d'octobre 1914 n'est pas fini qu'on expédie à destination du front, le Régiment List (c'est le nom de son colonel). De la porte de son wagon à bestiaux, Adolf Hitler, enthousiasmé, voit pour la première fois le Rhin.


A Lille et à Ypres :

Le lendemain, il est à Lille. Huit jours plus tard, il se trouve en ligne devant Ypres, plongé dans une des plus meurtrières et des plus stupides batailles de toute la guerre. L'état-major du Konprinz bavarois Ruprecht, dans un effort frénétique pour percer jusqu'à la côte belge,envoie une armée entière au massacre contre les Anglais retranchés à Bercelaere et Gheluveldt. De son trou d'obus de Wytschaete, d'où les tours d'Ypres (Ieper pour nos amis belges Smile )paraissent proches à toucher de la main, Adolf Hitler voit ses compagons tomber autour de lui comme des mouches, écrasés par les 385 de la marine britannique.
Au bout de quatre jours, le Haut Commandement est obligé de retirer de première ligne le Régiment List, monté dix fois à l'assaut d'Ypres en chantant "Die Wacht am Rhein" et de le mettre au repos a Wervick.


A La Bassée et Fromelles

Pendant toute l'année 1915, le 16e régiment d'infanterie bavarois s'entere dans la guerre des tranchées, en face des Anglais. Au repos à Fromelles, entre Lille et Béthune, en ligne a neuve-Chapelle, à La Bassée, à Arras, Adolf Hitler connaît toutes les misères du fantassin. Elles resteront dans sa mémoire. Il émergera de la guerre fantassin dans l'âme, avec le complexe de la piétaille. Un jour son régiment est envoyé à Ostende pour être reformé et la curiosité le pousse à visiter un des U-boots qui se trouvent dans le port. A coté des matelots propres, pimpants, il a honte de son uniforme...........(partie manquante...)........
...........................................................................................................
Il a été promu caporal et décoré une nouvelle fois de l'Ordre Noir des Blessés.
Son chien Foxl lui a fait fête et il a retrouvé sa place au sein de son escouade. Immédiatement, il se distingue à nouveau, sauve la vie de son commandant en lui faisant un rempart de son corps et reçoit le diplôme de bravoure exceptionnelle du régiment.
Ce régiment List n'est pas épargné. Jeté pendant l'été dans la troisième bataille d'Ypres, après deux mois de repos à Hochstad en Alsace, il est une fois encore engagé sur l'aisne pendant tout l'hiver 1917-1918 et il connaît l'enfer du Chemin des Dames avant de participer à la grande offensive allemande de printemps.
C'est à Montdidier, enmars 1918, que le "gefreiter" Hitler, égaré entre les lignes au cours d'une liaison, surprend douze territoriaux français dans une tranchée et les ramène prisonniers au colonel baron von Tubeuf, commandant son régiment.
Cet étonnant exploit lui vaut d'être décoré de la Croix de Fer de Première Classe, une décoration rarissime, presque jamais décernée à un homme de troupe. "


je vais essayer de trouver la partie manquante,

a+,Rom


Adolf Hitler dans le Nord en 14-18 230620061442331lx




post de verdaniel

je me permet d ajouter une petite precision,
il fut un des rares survivants de sa compagnie sous les bombardements de l artillerie navale
il etait également sur le front d ypres lord de la premiere utilisation des gaz de combat le 22 avril 1915 sur le front d ypres,
le nom donné a ce gaz est une contraction du mot ypres en flamand, ieper et est devenu yperite (le fameux gaz moutarde)
Il aurait succombé aux bonbardements, le sort du monde aurait été tres différent


voici un article du figaro qui traite de cette partie de l histoire

A une dizaine de kilomètres de là, dans sa tranchée de Mesen, un caporal de 24 ans du 16e régiment de réserve bavarois a plutôt tendance à dénoncer l'irresponsabilité des généraux. Il s'appelle Adolf Hitler. De ce lieu et de cet instant naît sa haine des Anglais et des Français qui ira croissante, d'autant qu'en octobre 1918, à Werwicq-sud, atteint par les gaz moutarde lancés par les Alliés, il restera aveugle pendant six mois. Peut-on dire alors que l'idée de la revanche et d'une autre guerre a germé à Ypres dans l'esprit d'Adolf Hitler ? «Plus on est éloigné des événements, plus les deux conflits de 14-18 et de 39-45 se regroupent», analyse Piet Chielens, le coordinateur de l'étonnant In Flanders Fields Museum d'Ypres.

Hitler, en tout cas, n'oubliera jamais les héros de Langemark. Devenu patron du Parti nazi, il impose aux membres de la Hitler-Jungend, le serment de Langemark : «Sacrifier sa vie pour que vive l'Allemagne». Et, en juin 1940, il va se recueillir dans le cimetière où reposent 15 000 soldats allemands, faisant même croire à son entourage qu'il faisait partie de l'épopée.

Ypres, pour les Français, c'est, avant tout, les premières attaques au gaz du 22 avril 1915. Le nuage toxique s'abat sur deux divisions composées en majorité de Bretons et de Normands. Entre 2 000 et 4 000 hommes succombent dans les premiers jours. De «ce carnaval de morts où les enfants du sol clair respirent sous leurs masques de cette folie éparse aux plaines de la Flandre» (Maurice Gauchez, octobre 1915), il reste comme souvenir un coin de sol breton, planté au bord de la route de campagne reliant Boezinge à Langemark. Là, a été dressé, dans les années vingt, un calvaire venu du Huelgoat datant du XVIIe, entouré de petits menhirs sur lesquels sont gravés les noms des villes d'origine des victimes : Guingamp, Saint-Brieuc... Un paysan breton a fait don du menhir qui trônait dans son champ. Le pommier planté par les Normands donne toujours des fruits.

Ypres c'est enfin, par-delà l'Histoire avec une majuscule, une aventure humaine et individuelle que le musée d'Ypres parvient à retracer à l'aide de fiches informatisées qui, de borne en borne, permettent de suivre les parcours de 350 soldats des deux camps. La mort est souvent leur dernier rendez-vous. Même si c'est sur divers points du front des Flandres que se produisirent, à la Noël 14, des actes de fraternisation entre troupes ennemies. Moments exceptionnels portés récemment à l'écran par le film Joyeux Noël.

Quant aux dimensions de la tragédie, on la mesure en comparant cet écrit d'un capitaine de la cavalerie anglaise en août 14 : «Je trouve la guerre délicieuse, c'est comme un grand pique-nique», et ce commentaire d'un soldat français grièvement blessé le 27 octobre de la même année et qui écrit quelque temps plus tard : «Il s'est passé des choses et encore des choses qu'il n'est pas facile de raconter à présent à cause que ceux d'aujourd'hui ne les comprendraient déjà plus.» Ces lignes sont signées Ferdinand Céline dans Voyage au bout de la nuit.

Ypres, un champ de bataille méconnu des Français, à quarante kilomètres au nord de Lille en territoire belge. Méconnu peut-être parce que leurs troupes y furent moins engagées qu'à Verdun ou dans la Somme. Peut-être aussi parce que 90 000 poilus – «seulement», serait-on tenté de dire – y tombèrent au cours des quatre années de la Première Guerre parmi les 600 000 morts de toutes nationalités.



Pourtant, c'est là que les soldats de la 81e division du général Roy et de la 45e division du général Quiquandon furent surpris par les premières attaques au gaz ypérite. C'est sur cette terre aussi, à Poelkapelle, que disparut le glorieux aviateur Georges Guynemer, dont ni le corps ni l'appareil ne furent retrouvés, tant les pluies d'obus labouraient, creusaient, retournaient le sol. Une terre de sang qui rend encore des victimes englouties. 90 000 disparus sur les 275 000 pertes des troupes britanniques et du Commonwealth. 55 000 de ces noms s'inscrivent sur la Porte de Menin, arc de triomphe érigé à l'entrée de la ville d'Ypres. Chaque soir, à 20 heures depuis 1918 – sauf pendant l'occupation allemande –, un volontaire vient y sonner «the last post», l'extinction des feux. 35 000 autres noms sont gravés dans le marbre, à Passendale, le plus grand cimetière britannique d'Europe, où reposent 14 000 Tomies.

Ypres, c'est pour les Anglais le poème de John Mac Crae, In Flanders fields, qui fait des coquelicots l'emblème du sang versé par les soldats de Sa Gracieuse Majesté et que l'on apprend toujours dans les écoles d'outre-Manche. Collégiens et écoliers traversent encore le détroit pour se recueillir en ces lieux visités, chaque année, par des dizaines de milliers de Britanniques, Canadiens, Australiens et Néo-Zélandais.

Ypres, c'est après la bataille de la Marne, la ruée des armées du Kaiser dans ce secteur où une percée pouvait ouvrir la route des ports de Dunkerque et Calais. La première grande bataille se livre à la mi-octobre 1914. Les généraux allemands de la 4e armée de réserve envoient à l'assaut des lignes britanniques des hommes très jeunes, mal entraînés. A Langemark, 3 000 d'entre eux tombent en quelques heures sous les balles anglaises. On en fait des héros. Avec le poème de Heinrich Lersch, Deutschland muss leben, und wenn wie sterben müssen !, Langemark devient un mythe dans l'histoire militaire allemande : «Donner sa vie pour que vive l'Allemagne.»


voici deux photos du caporal hitler sur le front de flandre


Adolf Hitler dans le Nord en 14-18 Adolfhitlerto4.th
Adolf Hitler dans le Nord en 14-18 Adolfhitler4dq6.th



la plaque qu'il a fait posé sur le lieu où il logeait pres de fromelles, la plque fut détruite par la population à la libération
Adolf Hitler dans le Nord en 14-18 P1010225br2




post de minen

Voici un extrait du militärpass d'un soldat allemand qui, justement était dans le secteur de Ypres et Langemark à cette période :

Adolf Hitler dans le Nord en 14-18 Mpass005gt6


Pour la petite histoire, il était né en 1884 et il a survécu aux 2 conflits mondiaux (mais il ne fut acteur que durant la 1ère guerre).



post de hotchkiss62

J'ai une photo de lui prise à Verlinghem, prés de Lille en 1917 (il est debout tout a gauche, avec sa casquette)
Adolf Hitler dans le Nord en 14-18 P1300010
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