dossier de
SimonLes bretelles de suspension modèle 1892 C'est en 1892 qu'est adopté le système de suspension des cartouchières.
Auparavant, le poids relativement important des cartouchières était
retenu par des contre-sanglons (attenant à l'as de carreau) soutenant le
ceinturon (par l’intermédiaire de passant en laiton).
- le modèle 1892Le modèle adopté en 1892 est, à l'instar des autres effets de cuir, côté "chair" à l'extérieur.
modèle 1892 réceptionné (collection Simon)
modèle 1892 (celui de gauche) (Collection Eric)
modèle 1892 en cuir non retourné (sauf le premier) (collection Simon)
- le modèle 1892/14Avec l'abandon du cuir noirci et l'adoption du cuir fauve, les brelages ne dérogeront pas à la règle...
modèle 1892/14 réceptionné en 1915 (collection Eric)
modèles 1892/14 (sauf le noir) (collection Simon)
- les modèles de "fortune"Brelages de fortune (collection Eric)
Brelages de "fortune" (collection Simon)
Brelage de fortune (collection Eric)
Brelage de fortune (collection Eric)
Brelage de "fortune" (à droite) (collection Metz)
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les différents modes de fixation des sangles à l'anneauLes modèles 1892 "purs" sont uniquement cousus. Toutefois la faible
solidité des coutures amène souvent des réparations par l'adjonction
de rivets. Par la suite, le rivetage se généralise (le nombre de rivets
varie)
Collection Metz
Collection Simon
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l'éternelle question du nombre de trousL'idée que les brelages qui possèdent plus de 9 trous sont post 1918
voire post 1945 est à bannir. De bons brelages ont 10 trous voire
davantage.
Toutefois il est vrai que le modèle qui se généralise jusque dans les
années 1950 possède 11 trous, mais il est reconnaissable par sa couleur
de cuir (très fauve voire jaune) ses deux coutures (parallèles aux
sangles) et ses deux rivets (perpendiculaires aux sangles).
Les soldats raccourcissaient très souvent leur brelage... il n'est pas
rare de voir des brelages ne possédant qu'un seul et unique trou...
modèle de 11 trous (collection Simon)